1. Welt-Malaria-Tag: Bemühungen um ein malariafreies Mali bis 2030
Le Républicain – 26 Apr 2022
Der Weltmalariatag wurde in Mali am 25. April 2022 auf dem Chaba-Gelände in Lafiabougou unter der Leitung der Ministerin für Gesundheit und soziale Entwicklung, Frau Dieminatou Sangaré, begangen.
2. Malaria: CRS und PNLP setzen sich für eine Ausrottung bis 2030 ein
maliweb – 27 Apr 2022
In Mali ist Malaria mit 34% im Jahr 2021 der häufigste Grund für eine Untersuchung in den Gesundheitseinrichtungen. Vor diesem Hintergrund haben die Regierung über das Nationale Programm zur Bekämpfung von Malaria (PNLP) und Catholic relief Services (CRS), der neue Verwalter des Malariafonds, am Montag, den 25. April, die 15. Auflage des Welt-Malaria-Tages und der Nationalen Woche zur Bekämpfung von Malaria organisiert.
DEUTSCH WEITER (IN VON MIR ETWAS VERBESSERTER DEEPL-ÜBERSETZUNG) UNTER DEN FRZ. ORIGINALEN – LINK ZUM World malaria report 2021 DER WHO GANZ UNTEN
1. Journée mondiale de lutte contre le paludisme : Des efforts pour un Mali sans paludisme d’ici 2030
Le Républicain – 26 Avr 2022
Par Moussa Samba Diallo
La journée mondiale de lutte contre le paludisme a été célébrée au Mali, le 25 avril 2022, sur le terrain Chaba de Lafiabougou, sous la houlette du ministre de la santé et du développement social, Mme Dieminatou Sangaré.
Foto (c) greenlife.com: Des chercheurs avancent l’idée de combiner insecticides et antipaludéens sur ces filets de protection, pour tuer le parasite directement dans le tube digestif des moustiques. – Forscher wollen Insektizide und Malariamittel auf diesen Moskitonetzen kombinieren, um den Parasiten direkt im Verdauungstrakt der Malariamücken zu töten.
C’était en présence de plusieurs acteurs et partenaires engagés à bouter le paludisme hors des frontières maliennes. Placée sous le signe « innover pour réduire la charge du paludisme et sauver des vies », la journée a servi de cadre aux ministres et aux acteurs impliqués dans la lutte contre le paludisme de faire le bilan des nouvelles pratiques introduites par l’OMS au Mali, tout en renforçant le plaidoyer et la mobilisation sociale autour des stratégies de lutte contre la maladie.
La ministre Mme Diéminatou Sangaré a entamé ses propos en présentant l’alarmant rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé sur la maladie, un rapport qui recommande l’implication de toutes les couches afin de contrecarrer le carnage que le paludisme sème à travers la planète.
Le paludisme constitue aujourd’hui un réel problème de santé publique dans plus de 90 pays représentant environ 2,4 milliards de personnes, … L’Afrique reste toujours le continent le plus touché avec 80% des cas estimés.
En outre, le paludisme est la cause de 17% des mortalités chez les enfants de moins de cinq ans dans la région africaine de l’OMS. La ministre de la santé et du développement social a indiqué que l’objectif principal de cette journée est de renforcer le plaidoyer et la mobilisation sociale autour des stratégies de lutte contre le paludisme. Concernant le Mali, la ministre a affirmé que les statistiques sanitaires de 2021 ont fait ressortir 2 584 317 cas de paludisme, dont 20280 décès, soit un taux de létalité de 0,9 pour mille. Elle a noté que les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes constituent les couches les plus affectées par la maladie. Elle a rappelé que face à ces problématiques d’une extrême gravité, le Mali, avec l’appui de ses partenaires financiers, a entrepris des actions énergiques de lutte contre le paludisme. Ainsi, en 2021, plusieurs sommes ont été engagées dans la lutte contre le paludisme. « Cet engagement financier a permis entre autres, l’acquisition d’environ 1 400 000 tests de diagnostic rapides ; la mise à la disposition de plus de deux millions de plaquettes de combinaisons thérapeutiques ; la distribution de plus de quatre millions de moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée », dévoile-t-elle.
Le représentant résident de l’OMS au Mali, Dr. Jean Baptiste, ainsi que l’ambassadeur des Etats Unis au Mali, Dennis Hankins, ont affirmé que les soutiens ne feront jamais défaut afin d’aider le Mali à lutter efficacement contre le paludisme d’ici 2030. Selon eux, la lutte contre le paludisme n’est pas seulement thérapeutique, elle est aussi préventive. Ils ont rappelé que les Maliens ne doivent pas baisser les bras dans la lutte contre le paludisme. Le représentant de l’OMS a évoqué le vaccin RTSS qui, selon lui, est une avancée scientifique et qui réduit considérablement la morbidité et la mortalité liées au paludisme.
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2. Paludisme : Le CRS et le PNLP s’engagent pour une élimination à l’horizon 2030
maliweb – 27 Avr 2022
Par Mamadou TOGOLA
Au Mali, le paludisme constitue le premier motif de consultation dans les établissements de santé avec 34% en 2021. C’est dans ce contexte que le gouvernement à travers le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et Catholic relief Services (CRS), nouveau gestionnaire du fonds palu, ont organisé, ce lundi 25 avril, la 15ème édition de la Journée mondiale et de la Semaine nationale de lutte contre le paludisme.
« Innover pour réduire la charge du paludisme et sauver des vies ». C’est le thème retenu pour l’édition 2022 de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. « Il y a plusieurs innovations dans la lutte contre le paludisme », a indiqué Dr Mariam Tall, directrice du projet Paludisme-Fonds mondial, à CRS. Par exemple, explique-t-elle, des moustiquaires de deuxième génération seront bientôt distribuées au peuple malien grâce au financement du Fonds mondial.
Pour le projet triennal de lutte contre le paludisme 2022-2024, le Fonds mondial a octroyé au Mali une nouvelle subvention de 74 millions d’euros (49 milliards FCFA). Un fonds géré désormais par Catholic Relief Services Mali. « Nous serons au côté du gouvernement pendant les trois prochaines années pour accompagner la lutte contre le paludisme », a affirmé Dr Mariam Tall. Et d’ajouter : « Nous n’avons pas droit à l’échec ». La prévention du paludisme sera au cœur des innovations à venir avec notamment le développement des répulsifs spatiaux.
(…)
1 480 décès en 2021
Au Mali, 3,2 millions de cas confirmés de paludisme ont été enregistrés en 2021. La maladie a fait 1480 décès. Des chiffres en-deçà de la réalité, car selon une étude 38,8% des clients de pharmacie à Bamako reconnaissent avoir pour recours initial contre le paludisme soit à l’automédication, soit aux médicaments traditionnels. Présente à la célébration de la 15e édition de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, la professeure Rokia Sanogo, Chef du département médecine traditionnelle de l’Institut national de Santé publique (INSP) estime que l’innovation, c’est aussi associé les tradi-thérapeutes à la Stratégie nationale de lutte contre le paludisme.
Au nom du Premier ministre empêché, la ministre de la Santé, Diéminatou SANGARÉ, a salué l’octroi de la nouvelle subvention qui va « accélérer la réduction du Palu » ainsi que son élimination d’ici à l’horizon 2030. Aujourd’hui, a révélé la ministre de la Santé, le Mali se positionne parmi les premiers pays candidats pour implémenter le vaccin antipaludique RTS,S/AS01 à une large échelle.
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1. Welt-Malaria-Tag: Bemühungen um ein malariafreies Mali bis 2030
Le Républicain – 26 Apr 2022
Von Moussa Samba Diallo
Der Weltmalariatag wurde in Mali am 25. April 2022 auf dem Chaba-Gelände in Lafiabougou unter der Leitung der Ministerin für Gesundheit und soziale Entwicklung, Frau Dieminatou Sangaré, begangen.
Die Veranstaltung fand in Anwesenheit mehrerer Akteure und Partner statt, die sich dafür einsetzen, dass Malaria aus dem Land verschwindet. Der Tag stand unter dem Motto „Innovativ sein, um die Auswirkungen der Malaria zu verringern und Leben zu retten“ und bot den Ministern und den an der Malariabekämpfung beteiligten Akteuren die Gelegenheit, eine Bilanz der von der WHO in Mali eingeführten neuen Praktiken zu ziehen und gleichzeitig die Kampagne und die soziale Mobilisierung für die Strategien zur Bekämpfung der Krankheit zu stärken.
Ministerin Diéminatou Sangaré stellte zu Beginn ihrer Ausführungen den alarmierenden Bericht der Weltgesundheitsorganisation über die Krankheit vor, der die Einbeziehung aller Schichten empfiehlt, um dem verheerenden Schaden entgegenzuwirken, den die Malaria auf der ganzen Welt anrichtet.
Malaria stellt heute in über 90 Ländern mit rund 2,4 Milliarden Menschen ein echtes Problem für die öffentliche Gesundheit dar, … Afrika ist mit 80% der geschätzten Fälle immer noch der am stärksten betroffene Kontinent.
Darüber hinaus ist Malaria die Ursache für 17% der Todesfälle bei Kindern unter fünf Jahren in der afrikanischen Region der WHO. … In Bezug auf Mali sagte die Ministerin, dass die Gesundheitsstatistik für 2021 2 584 317 Malariafälle, darunter 20280 Todesfälle, ausweise, was einer Letalitätsrate von 0,9 pro Tausend entspreche. Sie wies darauf hin, dass Kinder unter fünf Jahren und schwangere Frauen die am stärksten von der Krankheit betroffenen Bevölkerungsschichten sind. Sie erinnerte daran, dass Mali angesichts dieser äußerst ernsten Problematik mit Unterstützung seiner Finanzpartner energische Maßnahmen zur Bekämpfung der Malaria ergriffen hat. … „Dieses finanzielle Engagement (im Jahr 2021) hat unter anderem den Erwerb von etwa 1.400.000 Schnelldiagnosetests ermöglicht; die Bereitstellung von mehr als zwei Millionen Packungen mit therapeutischen Kombinationen; die Verteilung von mehr als vier Millionen insektizidbehandelten Moskitonetzen mit langer Lebensdauer“, gibt sie bekannt.
Der residierende Vertreter der WHO in Mali, Dr. Jean Baptiste, und der Botschafter der Vereinigten Staaten in Mali, Dennis Hankins, bekräftigten, dass es nie an Unterstützung fehlen werde, um Mali bei der wirksamen Bekämpfung von Malaria bis 2030 zu helfen. Sie sagten, dass der Kampf gegen Malaria nicht nur therapeutisch, sondern auch präventiv sein müsse. Sie erinnerten daran, dass die Malier im Kampf gegen die Malaria nicht nachlassen dürften. Der WHO-Vertreter erwähnte den RTSS-Impfstoff, der seiner Meinung nach einen wissenschaftlichen Durchbruch darstellt und die malariabedingte Krankheitsanfälligkeit und Sterberate erheblich vermindere.
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2. Malaria: CRS und PNLP setzen sich für eine Ausrottung bis 2030 ein
maliweb – 27 Apr 2022
Von Mamadou TOGOLA
In Mali ist Malaria mit 34% im Jahr 2021 der häufigste Grund für eine Untersuchung in den Gesundheitseinrichtungen. Vor diesem Hintergrund haben die Regierung über das Nationale Programm zur Bekämpfung von Malaria (PNLP) und Catholic relief Services (CRS), der neue Verwalter des Malariafonds, am Montag, den 25. April, die 15. Auflage des Welt-Malaria-Tages und der Nationalen Woche zur Bekämpfung von Malaria organisiert.
„Innovativ sein, um die Auswirkungen der Malaria zu verringern und Leben zu retten„. Dies ist das Thema für den Welt-Malaria-Tag 2022. „Es gibt mehrere Innovationen im Kampf gegen Malaria“, sagte Dr. Mariam Tall, Leiterin des Malaria-Projekts des Globalen Fonds beim CRS. Zum Beispiel, so erklärt sie, werden dank der Finanzierung durch den Globalen Fonds bald Moskitonetze der zweiten Generation an die Menschen in Mali verteilt.
Für das Dreijahresprojekt zur Bekämpfung von Malaria 2022-2024 hat der Globale Fonds Mali einen neuen Zuschuss in Höhe von 74 Millionen Euro (49 Milliarden FCFA) gewährt. Ein Fonds, der nun von Catholic Relief Services Mali verwaltet wird. „Wir werden der Regierung in den nächsten drei Jahren zur Seite stehen, um den Kampf gegen die Malaria zu unterstützen“, sagte Dr. Mariam Tall. Sie fügte hinzu: „Wir dürfen nicht versagen“. Die Malariaprävention wird im Mittelpunkt der künftigen Innovationen stehen, … (…)
– 1.480 Todesfälle im Jahr 2021 –
In Mali wurden im Jahr 2021 3,2 Millionen bestätigte Malariafälle registriert. Die Krankheit führte zu 1.480 Todesfällen. Diese Zahlen liegen unter der Realität, denn laut einer Studie geben 38,8% der Apothekenkunden in Bamako zu, dass sie bei der Malariabekämpfung zunächst entweder auf Selbstmedikation oder traditionelle Medikamente vertrauen. Die Leiterin der Abteilung für traditionelle Medizin am Nationalen Institut für öffentliche Gesundheit (INSP), Professorin Rokia Sanogo, nahm an den Feierlichkeiten zum 15. Welt-Malaria-Tag teil und sagte, Innovation bedeute auch, die traditionellen Heiler in die nationale Strategie zur Bekämpfung von Malaria einzubeziehen.
Im Namen des verhinderten Premierministers begrüßte die Gesundheitsministerin Diéminatou SANGARÉ die Gewährung des neuen Zuschusses, der „die Reduzierung von Malaria beschleunigen“ und die Ausrottung der Krankheit bis zum Jahr 2030 ermöglichen werde. Die Gesundheitsministerin betonte, dass Mali heute zu den ersten Kandidatenländern gehört, die den Malaria-Impfstoff RTS,S/AS01 in großem Maßstab einführen wollen.
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P.S. Welche der statistischen Zahlen in den beiden Artikeln jetzt der Realität entsprechen, konnte ich nicht feststellen.
Laut dem World MALARIA Report 2021 der WHO vom 06.12.2021 entfielen für das Jahr 2020 3,0 % der Fälle und 3,1 % der Todesfälle auf Mali.
La région Afrique de l’OMS continue de payer le plus lourd tribut au
paludisme. En 2020, l’ensemble de la région a enregistré :
• 95 % de tous les cas de paludisme (228 millions de cas) ;
• 96 % de tous les décès dus au paludisme (602 000 décès).
Das ergibt 3 % von 241 Millionen = 7,23 Millionen Fälle
und 3,1 % von 627 000 = 19 400 Todesfälle
(also 0,27 % und nicht 0,9 promille)
Quelle: Rapport 2021 sur le paludisme dans le monde
Données et tendances régionales