1. Hohe Lebenshaltungskosten in Mali: Maßnahmen der Regierung
Mali Tribune – 26. Nov 2022
Um dem Anstieg der Preise für Grundnahrungsmittel entgegenzuwirken und ihn einzudämmen, wurde laut dem Minister für Handel und Industrie eine interministerielle Kommission eingesetzt.
2c. Sprit : Der Preis pro Liter steigt um 80 FCFA
L’Essor – 21 Jul 2022
Die Preise für Kraftstoffe sind seit heute Morgen … für einen Liter Benzin von 811 auf 891 Fcfa (1,36 €), der für Diesel von 809 auf 889 Fcfa gestiegen.
2b. Weltweiter Anstieg der Kraftstoffpreise : Die Subvention bewahrt die Malier davor, 1024 F CFA und 1039 F CFA für einen Liter Superbenzin bzw. Diesel zu zahlen
maliweb – 16 Juni 2022
(…) In einer am Dienstag, dem 7. Juni 2022, veröffentlichten Mitteilung erklärt das Office National des Produits Pétroliers (ONAP), dass aufgrund mehrerer exogener Faktoren … ab Mittwoch, den 08. Juni 2022 um 00 Uhr der Liter Superbenzin von 762 auf 811 F CFA und der Liter Diesel von 760 auf 809 F CFA erhöht wird.
2a. (Aus dem Archiv:) Erhöhung der Kraftstoffpreise an den Zapfsäulen: /* Der Preis für einen Liter Superbenzin steigt von 663 FCFA (1,01 €) auf 762 FCFA (1,16 €) /* Der Preis für einen Liter Diesel steigt von 593 FCFA (0,90 €) auf 760 FCFA (1,16 €)
Le Républicain – 17 Mar 2022
3b. Zement : Die Preise sinken nicht
Mali Tribune – 21 Jul 2022
Der Preis für Zement ist in Mali immer noch nicht stabil. Von 95.000 F CFA war die Tonne auf bis zu 150.000 F CFA hochgeschnellt.
3a. (Aus dem Archiv) Mali: Starker Anstieg der Zementpreise
Financial Afrik – 18 Januar, 2021
In Mali ist der Preis für Zement seit etwa einem Monat in die Höhe geschnellt. Den Behörden zufolge wurde der Preisanstieg durch eine Verknappung des Produkts auf dem nationalen Markt ausgelöst.
DEUTSCH WEITER (IN VON MIR ETWAS VERBESSERTER DEEPL-ÜBERSETZUNG) UNTER DEN FRZ. ORIGINALEN
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in MALI-INFOS 31.07.2022
1. Vie chère au Mali : Les mesures du gouvernement
Mali Tribune – 26 Nov 2022
Par Koureichy Cissé
Afin de contrer et de maitriser la hausse des prix des produits de première nécessité, selon le ministre de l’Industrie et du Commerce, une commission interministérielle a été mise en place.C’était cette semaine, lors d’une conférence de presse conjointe du ministre de l’Industrie et du Commerce Mahmoud Ould Mohamed et son homologue des Finances et de l’Economie, Alfousseyni Sanou dans la salle de conférence du ministère du Commerce et de l’Industrie.
« Il y a 3 mois déjà, un conseil de ministre extraordinaire sur la flambée des prix afin de trouver des solutions se tenait », a lancé le ministre du Commerce et de l’Industrie pour avancer que la rencontre en cours avec la presse a pour objectif de faire le bilan des mesures prises et annoncées ce jour après le conseil extraordinaire sur la vie chère au Mali. Aux dires du ministre, la réponse au choc de la hausse des prix des denrées alimentaires de première nécessité, a été et reste une préoccupation centrale des plus hautes autorités de la transition. « Une commission interministérielle est déjà mise en place spécifiquement sur la question des prix des produits de première nécessité », a fait savoir le ministre du Commerce pour anticiper et trouver des solutions pour les mois à venir.
Selon le ministre Mahmoud Ould Mohamed, ladite commission se penche sur les produits et la maîtrise de leurs prix. Dans le même sens, explique-t-il, un plan d’action a déjà été élaboré afin de rassurer la population que le gouvernement est à pied d’œuvre pour prendre en charge afin de maitriser la hausse des prix et le pouvoir d’achat au Mali. « Il s’agit de rendre possible l’approvisionnement concernant le pays, mais rendre aussi les produits disponibles pour les consommateurs à des prix abordables avec un pouvoir d’achat conséquent », a rassuré le ministre du Commerce. Les deux ministres ont souligné quatre grandes raisons pour la hausse de prix au Mali et ont promis que des mesures d’accompagnement pour soulager la population sont déjà en cours.
Aux dires du ministre des Finances et de l’Economie, Afousseyni Sanou, les raisons qui expliquent cette hausse de prix au Mali sont la crise sécuritaire, politique et institutionnelle qui ne cesse de sévir dans le pays et l’embargo de la Cédeao que le pays a connu d’une part (entre janvier et juillet 22, ndlr). D’autre part, il a cité la crise sanitaire Covid-19 et aujourd’hui la guerre en Ukraine.
A en croire, M. Sanou tous ces facteurs ont d’une manière ou d’une autre conduit à la hausse des prix des denrées au Mali. La crise politique, sécuritaire et institutionnelle qui fait fuir certains bailleurs et la crise de la Covid-19 et ukrainienne qui ont beaucoup impacté le commerce au niveau mondiale.
Le ministre du Commerce et son collègue des Finances ont confié que : « Le Mali aujourd’hui fonctionne sur sa propre recette et que l’appui budgétaire ne dépasse pas les 6 %. Sans oublier les revendications salariales, où une justice sociale en harmonisant la grille salariale avec un impact budgétaire de 200 milliards de F CFA. Le cas des indemnités est en voie d’être revu et aussi l’accompagnement de certains secteurs privés », souligné M. Sanou pour ajouter qu’il y a eu paiement de 398 milliards de dette intérieure pour les entreprises. En ce qui concerne les subventions sur les produits de première nécessité, tels que le riz, le lait, l’huile, le pétrole, l’Etat fait manquement de plus 132 milliards de F CFA sans cumuler le gaz et les graines de coton. Les efforts n’ont pas manqué et ils continueront ont fait savoir les deux ministres, pour contrer la vie chère au Mali.
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On en est resté là pour l’instant, sauf une légère diminution de 10 FCFA:
2c. Carburants : Le prix du litre augmente de 80 FCFA
L’Essor – 21 Juil 2022
Les prix des carburants connaissent depuis ce matin une hausse de 80 Fcfa sur le litre. Ainsi, le prix du litre d’essence est passé de 811 à 891 Fcfa (1,36 €), celui du gasoil de 809 à 889 Fcfa. (…)
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2b. Hausse mondiale des prix des carburants : La subvention évite aux Maliens de payer à 1024 F CFA et à 1039 F CFA le litre de supercarburant et de gasoil
maliweb – 16 Juin 2022
Par Ibrahim Moussa DIALLO
(…) Dans un communiqué rendu public le mardi 7 juin 2022, l’Office National des Produits Pétroliers (ONAP) déclare que suite à plusieurs facteurs exogènes … : à compter mercredi 08 juin 2022 à 00 H, le litre de supercarburant passe de 762 à 811 F CFA et celui du Gasoil passe de 760 à 809 F CFA.
Notons également que malgré cette hausse, le Gouvernement continue de subventionner le supercarburant et le gasoil. (…)
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2a. (De l’archive:) Augmentation des prix du carburant à la pompe : /* Le prix du litre du super carburant passe de 663 FCFA (1,01 €) à 762 FCFA (1,16 €)/* Le prix du litre du gasoil passe de 593 FCFA (0,90 €) à 760 FCFA (1,16 €)
Le Républicain – 17 Mar 2022
Par Hadama B. FOFANA
…Au terme de la réunion de la commission de suivi des prix du pétrole, une décision majeure a été prise par les membres de la commission. Il s’agit notamment de l’augmentation légère (???!!!, ndlr) du prix de l’essence à partir de ce 17 mars 2022. (…)
Au Mali, ajoute le DG de l’ONAP (Direction nationale des produits pétroliers), depuis près de 16 mois, les consommateurs ont acheté le carburant au même prix qui est aujourd’hui (16 mars 2022) de 663 Fcfa pour le super carburant et de 593 Fcfa pour le gasoil. Cette reconduction depuis novembre 2020, a expliqué le DG Modibo Gouro Diall, s’explique par le souci des autorités de la transition à œuvrer à maintenir, à préserver le pouvoir d’achat du consommateur malien.
Selon les conférenciers, cette augmentation du prix du pétrole n’est nullement liée à l’embargo qui nous est imposée. Elle est due à la crise ukrainienne qui a vu les prix du pétrole flambés dans le monde, passant de 400 Fcfa à 600 Fcfa à l’extérieur. «Ce n’est pas de gaité de cœur que nous annonçons cette nouvelle. C’est un phénomène que tous les pays vivent aujourd’hui. Cela vaut mieux qu’on soit privé du pétrole», ont annoncé les conférenciers.
Les consommateurs doivent accepter la hausse afin d’éviter toute rupture de carburant
Abdoul Wahad Diakité de l’Ascoma (Association des consommateurs du Mali) a fait savoir que par nature, les associations des consommateurs sont contre toutes les formes d’augmentations. Cependant, dit-il, le contexte actuel du pays et du monde nous oblige à accepter. Car, s’il n’y avait pas d’augmentation des prix, a dit Diakité, c’est sûr qu’il y aurait une pénurie sur le marché malien. (…)
Aujourd’hui, pour que les prix soient maintenus à 762 Fcfa et à 760 Fcfa, les opérateurs économiques ont accepté une diminution de plus de 30% de leurs marchés. Et l’Etat aussi a amené pratiquement le TPP à 1 Fcfa. Comme vous le savez, dit Diakité, tous les objectifs budgétaires ont été laissés à l’eau. « Nous, en tant que consommateurs, acceptons cette augmentation en dépit de tout, parce que nous connaissons les efforts fournis par les autres acteurs, notamment le gouvernement et les opérateurs pétroliers. … >> (…)
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3b. Ciment : Les prix ne baissent pas
Mali Tribune – 21 Juil 2022
Par Assétou Many Coulibaly
Le prix du ciment n’est toujours pas stable au Mali. De 95 000 F CFA, la tonne avait pris l’ascenseur pour atteindre jusqu’à 150 000 F CFA. Aujourd’hui, avec la levée des sanctions, le prix du ciment demeure toujours cher au niveau de plusieurs fournisseurs.
De 95 000 F CFA, le prix de la tonne du ciment a atteint jusqu’à 150 000 F CFA. (Prix de la tonne en novembre 2022: 110 000 FCFA, donc 5 500 FCFA le sac, ndlr) Afin d’expliquer cette augmentation, les commerçants accusaient l’embargo. Aujourd’hui avec la levée des sanctions le 3 juillet, le prix évolue vers son coût initial. Mais il est toujours sujet à des spéculations. La tonne du ciment est disponible aujourd’hui à partir de 110 000 F CFA, et même plus. « Nous nous fournissons en ciment à des prix exorbitants. De ce fait, nous n’avions d’autre choix que d’augmenter », explique Sadio Samassekou, quincailler. (…)
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3a. (De l’archive) Mali : forte flambée des prix du ciment
Financial Afrik – 18 janvier, 2021
Par Daouda Bakary KONÉ
Au Mali, le prix du ciment a pris de l’ascenseur depuis presqu’un mois. Selon les autorités, cette hausse de prix a été provoquée par une pénurie du produit sur le marché national.
Il y’a quelques mois, la tonne du ciment (importé comme local) se vendait à 90.000 FCFA. Mais actuellement, il est cédé à 115.000, voire 125.000 F CFA dans certains magasins. Le sac de 50 kg coûte 6.000 à 6.250 FCFA. Cette flambée rappelle celle d’avril 2019. A l’époque, le prix de la tonne avait également atteint 125.000 Fcfa.
« Il y a vraiment de la pénurie dans le marché. Nous sommes presque craqués. Au moment où je vous parle, ça ne va pas. Tous les magasins de stockage de ciment sont presque vides. Ce camion nous a été proposé par un grossiste. Nous revendons dans la fourchette comprise entre 112.000 et 115.000 FCFA la tonne, soit 6.000 le sac», a laissé entendre le propriétaire d’une quincaillerie. Et de préciser que les différences de prix constatées sont le fait des intermédiaires.
Toutefois, le principal problème est l’incapacité des usines locales à couvrir les besoins des consommateurs en ciment. Selon un commerçant évoluant dans le secteur, « l’Etat devrait encourager la construction d’autres usines et réduire considérablement les coupures d’électricité ».
Pour rappel, le Mali dispose de trois cimenteries à savoir : Diamond Ciment qui compte deux usines de production d’une capacité d’un million de tonnes par an, la cimenterie Cimaf qui produit jusqu’à 500.000 tonnes par an, et les Ciments et matériaux du Mali (CMM-SA) avec également une capacité de production de 500.000 tonnes. Ce qui fait un total de 2 millions de tonnes. [.. alors que la demande nationale est estimée à plus de 4 millions de tonnes par an, selon la direction générale du Commerce, de la Concurrence et de la Consommation (DDCC).]
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1. Hohe Lebenshaltungskosten in Mali: Maßnahmen der Regierung
Mali Tribune – 26. Nov 2022
Von Koureichy Cissé
Um dem Anstieg der Preise für Grundnahrungsmittel entgegenzuwirken und ihn einzudämmen, wurde laut dem Minister für Handel und Industrie eine interministerielle Kommission eingesetzt. Dies geschah diese Woche auf einer gemeinsamen Pressekonferenz des Ministers Mahmoud Ould Mohamed, und seines Kollegen für Finanzen und Wirtschaft, Alfousseyni Sanou, im Konferenzraum des Ministeriums für Handel und Industrie.
„Vor drei Monaten fand eine außerordentliche Ministerratssitzung zum Thema Preisanstieg statt, um Lösungen zu finden“, sagte der Minister und erklärte, dass er eine Bilanz der Maßnahmen ziehen wolle, die nach der außerordentlichen Ministerratssitzung zum Thema der hohen Lebenshaltungskosten in Mali ergriffen und angekündigt worden waren. Nach Aussage des Ministers war und ist die Reaktion auf den Schock der steigenden Preise für Grundnahrungsmittel ein zentrales Anliegen der obersten Behörden des Übergangs. „Eine interministerielle Kommission wurde bereits speziell für die Frage der Preise für Grundnahrungsmittel eingesetzt“, ließ der Handelsminister wissen, um vorausschauend zu handeln und Lösungen für die kommenden Monate zu finden.
Laut Minister Mahmoud Ould Mohamed befasst sich die genannte Kommission mit den Produkten und der Kontrolle ihrer Preise. In diesem Sinne, so erklärt er, sei bereits ein Aktionsplan ausgearbeitet worden, um der Bevölkerung zu versichern, dass die Regierung an der Umsetzung arbeitet, um den Preisanstieg und die Kaufkraft in Mali unter Kontrolle zu bringen. … Die beiden Minister hoben vier Hauptgründe für den Preisanstieg in Mali hervor und versprachen, dass flankierende Maßnahmen zur Entlastung der Bevölkerung bereits eingeleitet worden seien.
Nach Aussage von Herrn Sanou sind die Gründe für den Preisanstieg in Mali zum einen die Sicherheits-, politische und institutionelle Krise, die das Land immer wieder erschüttert, und das Embargo der ECOWAS (von Januar bis Juli 22, Ed). Andererseits nannte er die Gesundheitskrise Covid-19 und heute den Krieg in der Ukraine.
Nach Ansicht von Herrn Sanou haben alle diese Faktoren auf die eine oder andere Weise zum Anstieg der Lebensmittelpreise in Mali geführt. Die politische, sicherheitspolitische und institutionelle Krise, die einige Geldgeber vergrault habe, sowie die Covid-19- und die Ukraine-Krise hätten den Welthandel stark beeinflusst.
Der Handelsminister und sein Kollege aus dem Finanzministerium sagten, dass „Mali heute auf eigene Rechnung arbeitet und die Budgethilfe nicht mehr als 6 % beträgt“. Nicht zu vergessen die Lohnforderungen, wo eine soziale Gerechtigkeit durch die Harmonisierung der Lohntabelle mit einer Haushaltswirkung von 200 Milliarden F CFA erreicht werden soll. Der Fall der Zulagen wird derzeit überprüft und auch die Unterstützung bestimmter Privatsektoren“, betonte Sanou und fügte hinzu, dass 398 Milliarden an inländischen Schulden für Unternehmen gezahlt wurden. Hinsichtlich der Subventionen für Grundnahrungsmittel wie Reis, Milch, Öl und Erdöl fehlen dem Staat 132 Mrd. FCFA, wobei Gas und Baumwollsaat nicht mitgerechnet sind. Die beiden Minister betonten, dass es nicht an Anstrengungen gefehlt habe und diese auch weiterhin unternommen würden, um die hohen Lebenshaltungskosten in Mali zu bekämpfen.
© 2022 Mali-Tribune
Dabei ist es bisher erstmal geblieben, bis auf eine minimale Reduktion um 10 FCFA:
2c. Sprit : Der Preis pro Liter steigt um 80 FCFA
L’Essor – 21 Jul 2022
Die Preise für Kraftstoffe sind seit heute Morgen … für einen Liter Benzin von 811 auf 891 Fcfa (1,36 €), der für Diesel von 809 auf 889 Fcfa gestiegen. (…)
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2b. Weltweiter Anstieg der Kraftstoffpreise : Die Subvention bewahrt die Malier davor, 1024 F CFA und 1039 F CFA für einen Liter Superbenzin bzw. Diesel zu zahlen
maliweb – 16 Juni 2022
Von Ibrahim Moussa DIALLO
(…) In einer am Dienstag, dem 7. Juni 2022, veröffentlichten Mitteilung erklärt das Office National des Produits Pétroliers (ONAP), dass aufgrund mehrerer exogener Faktoren … ab Mittwoch, den 08. Juni 2022 um 00 Uhr der Liter Superbenzin von 762 auf 811 F CFA und der Liter Diesel von 760 auf 809 F CFA erhöht wird.
Es ist auch zu erwähnen, dass die Regierung weiterhin Superbenzin und Diesel subventioniert und die Preise trotzdem steigen. (…)
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2a. (Aus dem Archiv:) Erhöhung der Kraftstoffpreise an den Zapfsäulen: /* Der Preis für einen Liter Superbenzin steigt von 663 FCFA (1,01 €) auf 762 FCFA (1,16 €) /* Der Preis für einen Liter Diesel steigt von 593 FCFA (0,90 €) auf 760 FCFA (1,16 €)
Le Républicain – 17 Mar 2022
Von Hadama B. FOFANA
…Am Ende der Sitzung der Kommission zur Überwachung der Treibstoffpreise wurde von den Mitgliedern der Kommission eine wichtige Entscheidung getroffen. Dazu gehört die leichte (???!!!, Ed.) Erhöhung des Benzinpreises ab dem heutigen 17. März 2022. (…)
In Mali, so der Generaldirektor der ONAP (Direction nationale des produits pétroliers) weiter, konnten die Verbraucher seit fast 16 Monaten den Kraftstoff zum gleichen Preis kaufen, der heute (16. März 2022) bei 663 Fcfa für Superbenzin und 593 Fcfa für Diesel liegt. Der Generaldirektor Modibo Gouro Diall erklärte, dass diese Preisbindung seit November 2020 aufgrund des Bestrebens der Übergangsbehörden erfolgt sei, die Kaufkraft der malischen Verbraucher zu erhalten und zu schützen.
Die Referenten erklärten, dass der Anstieg des Mineralölpreises keineswegs mit dem gegen uns verhängten Embargo zusammenhänge. Er sei auf die Ukraine-Krise zurückzuführen, in deren Verlauf die Ölpreise weltweit von 400 Fcfa auf 600 Fcfa außerhalb der Ukraine in die Höhe geschossen seien. „Wir haben diese Neuigkeit nicht leichten Herzens mitgeteilt. Es ist ein Phänomen, das heute alle Länder erleben. Das ist besser, als wenn wir keinen Zugang zum Mineralöl mehr hätten“, kündigten die Referenten an.
Die Verbraucher müssen die Erhöhung akzeptieren, um zu verhindern, dass der Treibstoff ausgeht
Abdoul Wahad Diakité von Ascoma (Verbraucherverband von Mali) erklärte, dass Verbraucherverbände von Natur aus gegen alle Formen von Preiserhöhungen seien. Allerdings, so sagte er, zwinge uns die aktuelle Lage im Land und in der Welt dazu, dies zu akzeptieren. Denn wenn es keine Preiserhöhungen gäbe, so Diakité, würde es mit Sicherheit zu einer Knappheit auf dem malischen Markt kommen. (…)
Damit die Preise heute bei 762 Fcfa und 760 Fcfa gehalten werden können, haben die Wirtschaftsakteure eine Verringerung ihrer Umsätze um mehr als 30 % akzeptiert. Und auch der Staat hat die TPP (MWst) praktisch auf 1 Fcfa reduziert. „Wie Sie wissen“, so Diakité, „sind alle Budgetziele auf der Strecke geblieben. „Wir als Verbraucher akzeptieren diese Erhöhung trotz allem, weil wir die Anstrengungen der anderen Akteure, insbesondere der Regierung und der Mineralölunternehmen, kennen. …“ (…)
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3b. Zement : Die Preise sinken nicht
Mali Tribune – 21 Jul 2022
Von Assétou Many Coulibaly
Der Preis für Zement ist in Mali immer noch nicht stabil. Von 95.000 F CFA war die Tonne auf bis zu 150.000 F CFA hochgeschnellt. Heute, nach der Aufhebung der Sanktionen, ist der Zementpreis bei mehreren Lieferanten immer noch teuer.
Der Preis für eine Tonne Zement stieg von 95.000 F CFA auf 150.000 F CFA. (Preis pro Tonne im November 2022: 110.000 FCFA, d. h. 5.500 FCFA pro Sack, Ed.) Um diese Preissteigerung zu erklären, gaben die Händler dem Embargo die Schuld. Heute, nach der Aufhebung der Sanktionen am 3. Juli, bewegt sich der Preis wieder in Richtung der ursprünglichen Kosten. Aber er ist immer noch Gegenstand von Spekulationen. Eine Tonne Zement ist heute ab 110.000 F CFA und sogar noch mehr erhältlich. „Wir beziehen unseren Zement zu exorbitanten Preisen. Daher hatten wir keine andere Wahl, als die Preise zu erhöhen“, erklärte der Eisenwarenhändler Sadio Samassekou. (…)
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3a. (Aus dem Archiv) Mali: Starker Anstieg der Zementpreise
Financial Afrik – 18 Januar, 2021
Von Daouda Bakary KONÉ
In Mali ist der Preis für Zement seit etwa einem Monat in die Höhe geschnellt. Den Behörden zufolge wurde der Preisanstieg durch eine Verknappung des Produkts auf dem nationalen Markt ausgelöst.
Vor einigen Monaten wurde eine Tonne Zement (sowohl importiert als auch lokal) für 90.000 FCFA verkauft. Derzeit kostet sie jedoch in einigen Läden 115.000 oder sogar 125.000 F CFA. Ein 50-kg-Sack kostet 6.000 bis 6.250 FCFA. Dieser Preisanstieg erinnert an den Preisanstieg im April 2019. Damals hatte der Preis für eine Tonne ebenfalls 125.000 Fcfa erreicht.
„Es gibt wirklich Engpässe auf dem Markt. Wir sind fast ausverkauft. Während ich mit Ihnen darüber rede, läuft es nicht gut. Alle Lagerhäuser, in denen Zement gelagert wird, sind fast leer. Dieser Lkw wurde uns von einem Großhändler angeboten. Wir verkaufen ihn zwischen 112.000 und 115.000 FCFA pro Tonne weiter, das sind 6.000 pro Sack“, ließ der Besitzer eines Eisenwarenladens wissen. Er wies darauf hin, dass die festgestellten Preisunterschiede auf die Zwischenhändler zurückzuführen seien.
Das Hauptproblem ist jedoch, dass die einheimischen Fabriken nicht in der Lage sind, den Bedarf der Verbraucher an Zement zu decken. Einem in der Branche tätigen Händler zufolge „sollte der Staat den Bau weiterer Fabriken fördern und die Stromausfälle erheblich reduzieren“.
Zur Erinnerung: Mali verfügt über drei Zementfabriken, nämlich : Diamond Ciment mit zwei Produktionsstätten mit einer Kapazität von einer Million Tonnen pro Jahr, die Zementfabrik Cimaf, die bis zu 500.000 Tonnen pro Jahr produziert, und Ciments et matériaux du Mali (CMM-SA) mit einer Produktionskapazität von ebenfalls 500.000 Tonnen. Das ergibt eine Gesamtproduktion von 2 Millionen Tonnen. [… während die nationale Nachfrage laut der Generaldirektion für Handel, Wettbewerb und Verbraucherschutz (DDCC) auf über 4 Millionen Tonnen pro Jahr geschätzt wird].
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