DIE DISKUSSION ÜBER DAS ZWEITE LEBEN DER AUDI-BATTERIEN AUF DIE FÜSSE STELLEN! – Pour bien comprendre la seconde vie des batteries Audi au Mali

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Africa GreenTec E Mobility & Second Life Starts 2021
Matthias Grenda – 14.11.2021
Nachdem der Wirtschaftsjournalist Tobias Schwab in der Frankfurter Rundschau einen Artikel (s. Kasten) über die Entwicklungspartnerschaft zwischen Africa GreenTec und Audi veröffentlicht hat, haben auch verschiedene Elektromobilitäts-Blogs das Thema aufgenommen, darunter ecomento.de und auto motor und sport. Hier bei facebook gab es tausende Kommentare, insbesondere auf der Seite von #ecomento.

Zum FR-Artikel erschien in den MALI-INFORMATIONEN am 28.10.2021: AUSGEDIENTE AUTO-AKKUS SPEICHERN STROM IN MALISCHEN DÖRFERN – Une deuxième vie des batteries pour le stockage de l’électricité dans les villages

Leider haben die meisten Leser dort überhaupt nicht verstanden welche positive Dimension diese Kooperation hat, an deren Zustandekommen wir mehrere Jahre gearbeitet haben. Es ist nicht nur so, dass hier ein deutscher Automobilkonzern erstmalig offen mit einem Sozialunternehmen zusammenarbeitet, sondern vor allem ist die Entwicklungszusammenarbeit eine riesige Chance für Millionen Menschen im globalen Süden, die Gestehungskosten von erneuerbaren Energien drastisch zu reduzieren.
Nur sehr wenige Leute scheinen sich der Umbruchsphase bewusst zu sein in der wir uns bereits befinden. Große Automobilkonzerne werden in den nächsten Jahren zu den größten Energieversorgungsunternehmen, wenn die Mobilität auf Batterieelektrische Fahrzeuge umschwenkt, und wir sind mitten drin in diesem Prozess. Viele der Kommentatoren scheinen sich nicht im Ansatz bewußt zu sein was es bedeutet wenn wir Millionen Megawattstunden Speicherkapazität vor unseren Häusern, Unternehmen und Geschäften stehen haben, die in einer digital vernetzten Welt Energie teilen und speichern.
Es ist der fehlende Schub, den die Energiewende in den Industriestaaten braucht auf dem Weg zu einer 100% erneuerbaren Energieversorgung und Mobilität.
Technisch gesehen entstehen nach der Nutzung der Speicher in der Mobilität gebrauchte Zellmodule, die zwar für die Mobilität nicht mehr ausreichend Energiedichte bieten, für den Einsatz in stationären Anwendungen wie z.B. in unserem Fall zur Elektrifzierung von Inselnetzwerken in Dörfern in Afrika sind diese Speicher aber noch mehrere Jahre einsetzbar.
Es ist also mitnichten eine Entsorgung oder „Müll“ sondern wir verlängern durch die Nutzungsänderung des Speichers, dessen Lebenszyklus in unserer Anwendung um viele Jahre und schonen somit nicht nur die Ressourcen, sondern beeinflussen erheblich den CO2 – Fussabdruck der Speicher insgesamt und somit den Impact auf das Klima.
Dabei geht es aktuell gar nicht darum ein paar Speicher von AUDI in einem sinnvollen Kontext zu nutzen um einen kurzfristigen Effekt zu erzielen, sei es bei Africa GreenTec oder Audi, sondern die Machbarkeit und Funktionsweise einer solchen 2nd Life Anwendung zu untersuchen. Es ist eine Feldversuch, der nicht nur für unser Unternehmen und für den Automobilkonzern höchst spannend ist, sondern eine bahnbrechende Chance für alle Speicheranwendungen bietet. Es ist eine Sektorkopplung in doppeltem Sinne.
Selbstverständlich werden wir die Speicher nicht in Afrika im Sand verbuddeln, sondern die Module werden in einem Kreislauf der Wertstoff-Verwertung zugeführt, da wir ja selbst nicht nur die Logistik unserer containerisierten Kraftwerke gewährleisten, sondern auch einen regelmässigen, beidseitigen Werksverkehr haben. Es ist eines der sinnvollsten Projekte die ich in meinem Leben bisher auf die Beine gestellt habe und ich freue mich weiter extrem über die Zusammenarbeit mit dem Team von Audi und unserem Team. Danke an dieser Stelle an Alle im Konzern die sich dafür eingesetzt haben, dass man uns als sehr jungem Unternehmen diese Umsetzung zutraut. #nixBlaBla #WeDo
© 2021 Matthias Grenda

Africa GreenTec E Mobility & Second Life démarre en 2021.
Matthias Grenda – 14.11.2021
Après que le journaliste économique Tobias Schwab, spécialisé dans le ressort de l’économie, a publié un article (voir la boîte jaune)) dans le Frankfurter Rundschau sur le partenariat de développement entre Africa GreenTec et Audi, plusieurs blogs sur la mobilité électrique ont également abordé le sujet, dont ecomento.de et auto motor und sport. Ici, sur facebook, il y a eu des milliers de commentaires, notamment sur la page de #ecomento.

MALI-INFOS a publié le 28/10/2021 à propos de l’article de FR: AUSGEDIENTE AUTO-AKKUS SPEICHERN STROM IN MALISCHEN DÖRFERN – Une deuxième vie des batteries pour le stockage de l’électricité dans les villages

Malheureusement, la plupart des lecteurs n’ont absolument pas compris la dimension positive de cette coopération que nous avons mis plusieurs années à mettre en place. Non seulement c’est la première fois qu’un groupe automobile allemand coopère ouvertement avec une entreprise sociale, mais surtout, la coopération au développement est une chance énorme pour des millions de personnes dans les pays du Sud de réduire considérablement les coûts de production des énergies renouvelables.
Très peu de gens semblent être conscients de la phase de transformation dans laquelle nous nous trouvons déjà. Les grands groupes automobiles deviendront les plus grands fournisseurs d’énergie dans les années à venir, lorsque la mobilité passera aux véhicules électriques, et nous sommes en plein milieu de ce processus. De nombreux commentateurs ne semblent pas avoir conscience de ce que cela signifie lorsque nous avons des millions de mégawatts-heures de capacité de stockage devant nos maisons, nos entreprises et nos magasins, qui partagent et stockent l’énergie dans un monde connecté numériquement.
C’est le coup d’envoi qui manque à la transition énergétique des pays industrialisés vers un approvisionnement en énergie et une mobilité 100% renouvelables.
D’un point de vue technique, après l’utilisation des batteries dans la mobilité, on obtient des modules de cellules usagés qui n’offrent certes plus une densité énergétique suffisante pour la mobilité, mais qui peuvent encore être utilisés pendant plusieurs années pour des applications fixes, comme dans notre cas pour l’électrification de systèmes autonomes dans des villages en Afrique.
Il ne s’agit donc pas d’une mise au rebut ou d’un „déchet“, mais d’une modification de l’utilisation de la batterie qui prolonge son cycle de vie de plusieurs années dans notre secteur, ce qui permet non seulement de préserver les ressources, mais aussi d’influencer considérablement l’empreinte carbone de la batterie dans son ensemble et donc son impact sur le climat.
Actuellement, il ne s’agit pas d’utiliser quelques batteries AUDI dans un contexte utile pour obtenir un effet à court terme, que ce soit chez Africa GreenTec ou Audi, mais d’étudier la faisabilité et le fonctionnement d’une telle seconde vie. Il s’agit d’un essai sur le terrain qui n’est pas seulement passionnant pour notre entreprise et pour le groupe automobile, mais qui offre une opportunité révolutionnaire pour toutes les applications de stockage d’électricité. C’est un couplage sectoriel dans les deux sens du terme.
Bien entendu, nous n’enfouirons pas les batteries dans le sable d’Afrique, mais les modules seront recyclés en circuit fermé, puisque nous assurons nous-mêmes non seulement la logistique de nos centrales électriques conteneurisées, mais aussi un trafic régulier de part et d’autre de l’usine. C’est l’un des projets les plus utiles que j’ai mis sur pied jusqu’à présent dans ma vie et je continue à me réjouir énormément de la coopération entre l’équipe d’Audi et notre équipe. Merci à tous ceux qui, au sein du groupe, se sont investis pour que nous, en tant que toute jeune entreprise, puissions réaliser ce projet. #nixBlaBla #WeDo
© 2021 Matthias Grenda

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