Inzwischen ist der am 9.August 2021 verschickte Container mit u.a. den 9 Dialysegeräten der Marken Fresenius und Gambro in Bamako angekommen, und die Geräte können bald ihren Zweck erfüllen.
Entre-temps, le conteneur contenant, entre autres, les 9 appareils de dialyse des marques Fresenius et Gambro, qui a quitté l’Allemagne le 9 août 2021, est arrivé à Bamako – et les appareils pourront bientôt servir.
1. Praxis spendet Dialysemaschinen nach Mali
dialyse bochum – 27.11.2020
Am 20.11.2020 hat die Gemeinschaftspraxis Dialyse Bochum 6 ausrangierte, aber noch voll funktionsfähige Dialysemaschinen an die Aktion Pro Afrika e.V. übergeben.
2a. Kostenlose Dialyse in Mali: eine Ankündigung des (ehemaligen) Präsidenten ohne Wirkung
Benbere – 12. März 2020
Seit letztem Dezember (2019) kann kein nierenkranker Patient mehr seine Dialyse durchführen, ohne dafür zu zahlen. Im Februar 2019 hatte Präsident Keïta die kostenlose Dialyse in Mali verkündet.
2b. Erwerb neuer Geräte für die Dialyse am Point G: Ein Seufzer der Erleichterung für die Nierenpatienten
mali24.info – 16.05.2017
…Zehn neue Dialysegeräte für ein Budget von rund 78 Millionen FCFA (ca. 120.000 €) haben deren Zahl im Universitätskrankenhaus Point G auf rund 38 erhöht.
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1. Un cabinet médical fait don d’appareils de dialyse au Mali.
dialyse bochum – 27.11.2020
Le 20 novembre 2020, le cabinet collectif Dialyse Bochum a remis 6 appareils de dialyse rebutés mais encore parfaitement fonctionnels à Aktion Pro Afrika e.V.. L’organisation humanitaire, dont des médecins de Bochum, le Dr Querfurt et le Dr Prinsen, soutient des projets humanitaires et médicaux au Mali, l’un des pays les plus pauvres du monde. Depuis 2007, 40 postes de santé et hôpitaux ont été équipés de dispositifs et de fournitures médicales. La construction de quatre nouveaux postes sanitaires est prévue pour 2021.
Les 6 machines de dialyse données seront utilisées dans l’unité de dialyse de l’Hôpital National du Point G dans la capitale Bamako. À ce jour, un total de 20 appareils de dialyse sont opérationnels dans tout le Mali, et les listes d’attente pour les traitements respectifs sont longues. Nous espérons que nous pourrons aider au moins un peu par le biais de notre don.
© 2020 dialyse-bochum.de
VOIR AUSSI: PROJEKTREISE EINER NGO DURCH DEN SÜDWESTEN MALIS (Teil II) – Un voyage de projets d’une ONG dans le sud-ouest du mali (part II) dans MALI-INFOS 11.12.2019
2a. Gratuité de la dialyse au Mali : une annonce présidentielle sans effet
Benbere – 12 mars 2020
Par Ayouba SOW
Depuis décembre dernier (2019), aucun patient souffrant d’insuffisance rénale n’a pu réaliser sa séance de dialyse sans mettre la main à la poche. Alors qu’il y a près d’un an, en février 2019, le Président Keïta, avait proclamé la gratuité de la dialyse au Mali.
Le ministre de la Santé, Michel Hamala Sidibé, dans une note en date du 27 décembre 2019, expliquait que la quasi-totalité des patients en hémodialyse n’était pas à jour de paiement de leurs séances de dialyse sous prétexte que le président de la République avait annoncé leur gratuité au terme des reformes.
Après l’affichage de cette décision dans les unités de dialyse, les conséquences ont suivi, comme l’indiquait la note. Plusieurs patients se sont vu refuser la séance de dialyse pour défaut de paiement. Ils doivent donc à l’hôpital la totalité des mois de dialyse non payés : une facture salée pour bon nombre d’entre eux.
La plupart des patients viennent de l’intérieur du pays. Il leur manque souvent les frais de transport pour se rendre à l’hôpital du Point G pour leurs deux séances hebdomadaires de dialyse.
– « Nos vies qui ne tiennent qu’à des machines » –
« À défaut de pouvoir payer les arriérés liées aux séances passées, certains d’entre nous sont retournés chez eux sans se faire dialyser. Ils mourront au bout de quelques semaines et le savent, mais se sont résignés. Nos vies ne tiennent qu’à des machines », déplore Hamada Maïga, un fonctionnaire souffrant d’insuffisance rénale chronique.
Les dialysés sont des personnes ayant perdu l’usage des deux reins. Les séances de dialyse permettent de soustraire de leur sang tout ce qui est impur. L’indisponibilité des machines ne permet que deux séances hebdomadaires à l’hôpital du Point G, au lieu des trois nécessaires.
Le 25 février 2019, lors de l’atelier de haut niveau sur la réforme du système de santé, le Président Keïta avait annoncé, à l’ouverture de l’évènement, la gratuité de nombreux soins curatifs et préventifs dont la dialyse.
Cette déclaration, qui avait suscité un soulagement considérable chez des patients, est restée un discours politique sans effet. Jusqu’à présent, d’après mes informations, l’hôpital du Point G n’a reçu aucun document officiel pour la gratuité de la dialyse, qui coûte dans les hôpitaux publics 2.500 francs CFA la séance, sans le prix des médicaments. Les frais de transport peuvent, chaque semaine, atteindre 10.000 francs CFA pour certains patients.
Les séances de dialyse, dans le public, n’étaient accessibles qu’à Sikasso et Bamako pendant des années. Une unité a été récemment inaugurée à Ségou. « Les appareils de Sikasso peuvent tomber en panne pendant des semaines. Les patients de cette région ayant les moyens viennent se faire soigner à Bamako », confie un autre patient. Outre les patients de ces deux sites, tous les malades d’insuffisance rénale du Mali sont condamnés à venir vivre à Bamako ou dans l’une des deux régions.
Il n’y a pas d’unité publique de dialyse dans les autres localités. « La séance coûte 75.000 francs CFA pour les Maliens, 125.000 francs CFA pour les étrangers dans les unités privées de Bamako et Kayes », ajoute M. Maïga.
Les malades abandonnent leur emploi, se séparent de leurs familles et de toutes leurs attaches pour s’installer à Bamako. Ils se réveillent généralement tôt le matin pour se rendre à l’hôpital du Point G. Certains se rendent tardivement à l’hôpital, en fonction de leur rendez-vous. « Les machines sont insuffisantes. Afin d’assurer le service à tous les patients, elles fonctionnent à plein régime, sans arrêt, toute la semaine, excepté le dimanche », affirme Abdou Dembélé, infirmier en chef de la salle de dialyse Nipro de l’hôpital du Point G.
– L’insuffisance rénale exige un régime spécial –
Dans l’indifférence générale, ils sont près de 600 personnes dans cette situation « vulnérable » au Mali, sans compter les cas non diagnostiqués. Ils ne doivent pas boire plus d’un demi-litre d’eau par jour, sauf s’ils parviennent à uriner.
Pourtant, du fait même de leur mal, certains peuvent ne pas uriner pendant deux jours. Ils doivent faire attention à toute activité dangereuse pour ne pas saigner, car à chaque séance de dialyse, le patient perd du sang. Cela l’oblige à prendre des médicaments excessivement chers tel que le Renagel 800 mg (105.000 francs CFA). Malgré son coût élevé, ce médicament n’est disponible que dans quelques officines de la capitale.
L’insuffisance rénale chronique est incurable. Les patients suivent les traitements tout au long de leur vie, car la loi sur l’implantation de rein n’est pas encore votée au Mali, même si un bâtiment a été construit à cet effet du temps de l’ancien président Amadou Toumani Touré.
© 2020 benbere.org
Il y a + de 4 ans:
2b. Acquisition de nouveaux générateurs pour la dialyse au Point G : Un ouf de soulagement aux malades rénaux
mali24.info – 16.05.2017
Par Dily Kane
…Dix nouveaux générateurs pour une enveloppe budgétaire de 78 millions FCFA environs viennent de compléter le nombre des générateurs au CHU Point G à 38 environs. Ces nouvelles machines sont de marque Gambro de fabrication suisse. Selon le technicien qui assure la maintenance, ces machines sont de meilleures qualités et la durée de vie peut aller de 15 à 20 ans.
Un ouf soulagement aux malades rénaux qui étaient dans le désespoir total. Avant les personnes souffrant d’insuffisance rénale remuaient ‘’ciel et terre’’ pour faire leur dialyse faute d’appareils en panne permanent au Point G. Ce qui fait dire Ibrahima Dembélé, président de l’association des insuffisants rénaux au Mali (AMADIR), que l’Etat malien doit être salué pour avoir soulagé les malades en achetant ces générateurs pour les insuffisants rénaux.
« C’est la première fois que l’Etat malien paie des générateurs pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale. Nous comptons environs 400 malades dialysés. Depuis un long moment certains dialysés n’avaient pas accès à ces générateurs. Et ceux qui n’arrivaient pas à faire leur dialyse décédaient simplement. Je pense bien qu’avec ces nouvelles machines, beaucoup de vie seront sauvés. Une occasion pour moi de saluer le Président de la République pour ce geste vital à notre endroit », se réjouit-il.
Il faut rappeler que le CHU du Point-G est sollicité par plus de 400 malades permanents de l’insuffisance rénale, alors qu’il ne disposait que de 22 générateurs fonctionnels. Conséquence de cette situation, les séances de dialyse y étaient passées de 3 à une seule fois par semaine pour chaque malade. Du coup, le taux de mortalité liée à l’insuffisance rénale s’est dramatiquement élevé.
La situation était dénoncée par l’association malienne des insuffisants rénaux (AMADIR) au cours d’une manifestation tenue au rond-point du Point-G.
© 2017 mali24info
Ces machines ne sont pas entrées en fonction??
1. Praxis spendet Dialysemaschinen nach Mali
dialyse bochum – 27.11.2020
Am 20.11.2020 hat die Gemeinschaftspraxis Dialyse Bochum 6 ausrangierte, aber noch voll funktionsfähige Dialysemaschinen an die Aktion Pro Afrika e.V. übergeben. Die von den Bochumer Ärzten Herr Dr. Querfurt und Frau Dr. Prinsen geleitete Hilfsorganisation unterstützt humanitäre und medizinische Projekte für Mali, einem der ärmsten Länder der Welt. Seit 2007 wurden 40 Gesundheitsstationen und Krankenhäuser mit medizinischen Geräten und Hilfsmitteln ausgerüstet. Für 2021 sind vier neue Gesundheitsstationen geplant.
Die 6 gespendeten Dialysemaschinen sollen in der Dialyse des Hospitals National du Point G in der Hauptstadt Bamako eingesetzt werden. Bisher sind insgesamt 20 Dialysemaschinen in ganz Mali im Einsatz, für die entsprechenden Behandlungen bestehen lange Wartelisten. Wir hoffen, dass wir durch unsere Spende zumindest ein bisschen helfen können.
© 2020 dialyse-bochum.de
Foto (c) AktionProAfrika: Un malade souffrant de l’insuffisance rénale au CHU du Point G à Bamako, le 27 novembre 2019 – Ein Dialysepatient im Uniklinikum Point G in Bamako, am 27. November 2019
LESEN SIE AUCH: PROJEKTREISE EINER NGO DURCH DEN SÜDWESTEN MALIS (Teil II) – Un voyage de projets d’une ONG dans le sud-ouest du mali (part II) , in MALI-INFORMATIONEN 11.12.2019
2a. Kostenlose Dialyse in Mali: eine Ankündigung des (ehemaligen) Präsidenten ohne Wirkung
Benbere – 12. März 2020
Von Ayouba SOW
Seit letztem Dezember (2019) kann kein nierenkranker Patient mehr seine Dialyse durchführen, ohne dafür zu zahlen. Im Februar 2019 hatte Präsident Keïta die kostenlose Dialyse in Mali verkündet. Der Gesundheitsminister Michel Hamala Sidibé erklärte in einer Mitteilung vom 27. Dezember 2019, dass fast alle Hämodialysepatienten mit der Bezahlung ihrer Dialysesitzungen im Rückstand seien, weil der Präsident der Republik angekündigt habe, dass diese nach Abschluss der Reformen kostenlos sein würden. (…)
Die meisten Patienten kommen aus dem Inneren des Landes. Oft fehlen ihnen die finanziellen Mittel, um zu den zwei wöchentlichen Dialysebehandlungen ins Krankenhaus Point G zu gelangen.
– „Unser Leben hängt nur noch von Maschinen ab“ –
„Weil wir die Rückstände für die vergangenen Sitzungen nicht bezahlt haben, sind einige von uns nach Hause zurückgekehrt, ohne eine Dialyse zu bekommen. Sie werden nach ein paar Wochen sterben und wissen es, aber sie haben sich damit abgefunden. Unser Leben hängt von Maschinen ab“, klagt Hamada Maïga, ein Beamter, der an chronischem Nierenversagen leidet.
Dialysepatienten sind Menschen, deren beide Nieren funktionsunfähig geworden sind. Durch die Dialysesitzungen werden alle Verunreinigungen aus dem Blut entfernt. Da zu wenige Geräte zur Verfügung stehen, sind im Krankenhaus Point G nur zwei Sitzungen pro Woche möglich, anstatt der erforderlichen drei.
Am 25. Februar 2019 hatte Präsident Keïta bei der Eröffnung des Arbeitstreffens zur Reform des Gesundheitssystems angekündigt, dass viele kurative und präventive Behandlungen, darunter die Dialyse, kostenlos sein werden.
Diese Erklärung, die bei den Patienten große Erleichterung ausgelöst hatte, blieb eine politische Rede ohne Wirkung. Nach meinen Informationen hat das Krankenhaus Point G bisher noch kein offizielles Dokument für eine kostenlose Dialyse erhalten, die in öffentlichen Krankenhäusern 2.500 CFA-Francs pro Sitzung kostet, ohne den Preis für die Medikamente. Die Transportkosten können für manche Patienten bis zu 10.000 CFA-Francs pro Woche betragen.
Jahrelang gab es die Möglichkeit einer öffentlichen Dialysebehandlung nur in Sikasso und Bamako. Vor kurzem wurde eine Einheit in Ségou eingeweiht. „Die Maschinen in Sikasso können wochenlang defekt sein. Patienten aus dieser Region, die über die nötigen Mittel verfügen, kommen zur Behandlung nach Bamako“, erzählt ein anderer Patient. Abgesehen von den Patienten an diesen beiden Standorten sind alle Patienten mit Nierenversagen in Mali dazu verurteilt, in Bamako oder in einer der beiden Regionen zu leben.
In den anderen Ortschaften gibt es keine öffentlichen Dialyseeinrichtungen. „Die Sitzung kostet 75.000 Francs CFA (ca. 115 €) für Malier, 125.000 Francs für Ausländer in den privaten Einheiten in Bamako und Kayes,“ fügt Herr Maïga hinzu.
Die Patienten geben ihre Arbeit auf, trennen sich von ihren Familien und allen ihren Kontakten und ziehen nach Bamako. … „Die Maschinen sind unzureichend. Um alle Patienten versorgen zu können, laufen sie die ganze Woche über, außer sonntags, auf Hochtouren“, sagt Abdou Dembélé, leitender Krankenpfleger der Nipro-Dialyseabteilung im Krankenhaus Point G.
– Nierenversagen erfordert eine spezielle Diät –
Es ist kaum bekannt, dass sich in Mali fast 600 Menschen in dieser „gefährdeten“ Situation befinden, dazu kommen die nicht diagnostizierten Fälle. Sie dürfen nicht mehr als einen halben Liter Wasser pro Tag trinken, es sei denn, sie sind in der Lage zu urinieren.
Allerdings kann es vorkommen, dass sie aufgrund ihrer Krankheit zwei Tage lang nicht urinieren. Sie müssen bei jeder gefährlichen Tätigkeit vorsichtig sein, um nicht zu bluten, denn mit jeder Dialysesitzung verliert der Patient Blut. Dadurch sind sie gezwungen, übermäßig teure Medikamente wie Renagel 800 mg (105.000 FCFA, ca. 160 €) einzunehmen. Trotz seiner hohen Kosten ist dieses Medikament nur in wenigen Apotheken der Hauptstadt erhältlich.
Chronisches Nierenversagen ist unheilbar. Die Patienten werden lebenslang behandelt, da das Gesetz zur Nierenimplantation in Mali noch nicht verabschiedet wurde, obwohl zu Zeiten des ehemaligen Präsidenten Amadou Toumani Touré (also vor 2012) ein Gebäude zu diesem Zweck gebaut wurde.
© 2020 benbere.org
Vor mehr als 4 Jahren:
2b. Erwerb neuer Geräte für die Dialyse am Point G: Ein Seufzer der Erleichterung für die Nierenpatienten
mali24.info – 16.05.2017
Von Dily Kane
…Zehn neue Dialysegeräte für ein Budget von rund 78 Millionen FCFA (ca. 120.000 €) haben deren Zahl im Universitätskrankenhaus Point G auf rund 38 erhöht. Diese neuen Maschinen sind von der Schweizer Marke Gambro. Nach Angaben des für die Wartung zuständigen Technikers sind diese Maschinen von besserer Qualität und ihre Lebensdauer kann 15 bis 20 Jahre betragen.
Dies ist eine Erleichterung für die Nierenpatienten, die völlig verzweifelt waren. Bisher mussten Menschen, die an Nierenversagen litten, Himmel und Hölle in Bewegung setzen, um ihre Dialyse durchführen zu lassen, weil die Maschinen am Point G ständig ausfielen. Ibrahima Dembélé, Präsident der Vereinigung der Nierenkranken in Mali (AMADIR), ist daher der Ansicht, dass der malische Staat die Patienten durch den Kauf dieser Geräte für die Menschen mit Nierenversagen entlasten sollte.
„Es ist das erste Mal, dass der malische Staat die Kosten für Geräte für die Menschen übernimmt, die an Nierenversagen leiden. Wir haben etwa 400 Dialysepatienten. Einige Dialysepatienten hatten lange Zeit keinen Zugang zu diesen Geräten. Und diejenigen, die keine Dialyse bekamen, starben einfach. Ich glaube, dass mit diesen neuen Geräten viele Leben gerettet werden können. Dies ist für mich eine Gelegenheit, dem Präsidenten der Republik für diese wichtige Geste gegenüber uns zu danken“, freut er sich.
Es sei daran erinnert, dass das Point-G-Universitätsklinikum von mehr als 400 Patienten mit dauerhaftem Nierenversagen aufgesucht wird, während es nur 22 funktionierende Geräte hat. Infolge dieser Situation wurden die Dialysesitzungen für jeden Patienten von drei auf eine pro Woche reduziert. Infolgedessen stieg die Sterblichkeitsrate aufgrund von Nierenversagen drastisch an.
Die malische Vereinigung der Nierenpatienten (AMADIR) prangerte diese Situation bei einer Demonstration am Kreisverkehr von Point-G an.
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