COVIDSITUATION UND IMPFSTAND IN MALI (V)- Situation du covid 19 et état de la vaccination au Mali (V)

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1. Impfung gegen Covid-19: Jetzt kann man sich an weitaus mehr Stellen impfen lassen.
Benbere – 02.11.2021
Um möglichst viele Menschen zu erreichen, hat der Staat Mali beschlossen, die Impfung in Cscoms (kommunitären..), Csrefs (Referenzgesundheitszentren) und Privatkliniken zu öffnen.
1a. CsCom Koko II in Kati in Bildern
Auf dieses CsCom, das zum sanitären Distrikt Kati gehört, wurden 50 Dosen Sinovac verteilt. Man konnte sich dort ohne Termin ab Montag, dem 15. November impfen lassen.
2. Covid-19 in Mali: Bestandsaufnahme durch die Akademie der Wissenschaften
Benbere – 10. November 2021
Die Akademie der Wissenschaften Malis (ASM) hat im Rahmen einer Pressekonferenz am 30. Oktober in der Fakultät für Wirtschafts- und Verwaltungswissenschaften in Bamako (FSEG) eine Bestandsaufnahme der Situation der Covid-19-Pandemie im Land vorgenommen.
Nur 1,3% der malischen Bevölkerung sind vollständig gegen das Coronavirus geimpft
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DEUTSCH WEITER (IN VON MIR ETWAS VERBESSERTER DEEPL-ÜBERSETZUNG) UNTER DEN FRZ. ORIGINALEN

1. Vaccination anti-Covid-19 : élargissement des lieux d’administration
Benbere/Mali Tribune – 02.11.2021
Par Aminata Agaly YATTARA
Pour toucher le maximum de personnes, l’État du Mali a décidé d’ouvrir la vaccination aux Cscom, aux Csref et aux cliniques privées. Une façon d’élargir les lieux d’administration.
A la date du 9 octobre 2021, les résultats provisoires faisaient état de 250 004 personnes complètement vaccinées contre 72 309 incomplètement vaccinées pour 529 150 doses de vaccins reçues (Astrazeneca et Johnson & Johnson). « La vaccination contre la Covid-19 continue à présent dans toutes les structures de santé publiques. D’ailleurs, nous venons de recevoir, le 4 octobre 2021, 835 200 doses du vaccin Sinovac et nous nous apprêtons pour le lancement de la campagne de vaccination dans les prochains jours », a déclaré Dr Cheick Amadou Tidiane Traoré, le directeur général de la santé et de l’hygiène publique, au cours d’un entretien.

Foto (c) benbere.org: Vue aérienne de Bamako – Luftaufnahme von Bamako, der Stadt mit der höchsten Covid-Inzidenz

Il a ajouté que les dispositions sont en cours pour étendre les sites de vaccination au niveau de certaines pharmacies, en plus des centres de santé communautaires et centres de santé de référence.
L’ambassadeur Linda Thomas-Greenfield, représentante des États-Unis auprès des Nations unies, a annoncé un deuxième don du vaccin Johnson & Johnson au Mali « dans le cadre des efforts du gouvernement américain pour lutter contre la pandémie au Mali et dans le monde ». Cette cargaison de 168 000 doses de vaccin est arrivée à Bamako le 23 octobre 2021 et a été livrée au ministère de la Santé et du Développement social du Mali.
Maliens les plus à risque
L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a travaillé en étroite collaboration avec le ministère malien de la Santé, l’Unicef, l’OMS et l’Alliance Gavi sur la distribution et l’utilisation de la première livraison de 151 200 vaccins Johnson & Johnson donnés par les États-Unis au Mali. Toutes les doses de cette première livraison de vaccins ont été utilisées au cours du mois de septembre, avec un faible taux de perte de seulement 4 %. « Nous sommes convaincus que cette deuxième livraison de vaccins profitera aux Maliens les plus à risque et à ceux qui vivent dans des zones difficiles d’accès », a dit Linda Thomas-Greenfield.
Depuis sa relance, la campagne de vaccination contre la Covid-19 bat son plein. Pour toucher le maximum de personnes, l’État du Mali a décidé d’ouvrir la vaccination aux Cscom, aux Csref et aux cliniques privées.
« Ces structures seront formées, recevront des doses et les personnes pourraient se faire vacciner presque en bas de chez eux », affirme un membre du comité scientifique. Pour lui, les mêmes rigueurs seront observées qu’actuellement.
Un service public à rendre
Quant aux pharmaciens, ils se disent disponibles mais attendent de voir. « Pour nous, ce serait un service public à rendre, ce qui entre dans nos missions », explique Adama Bagayoko de la pharmacie Carrefour Lafia.
Dans le cadre de l’élargissement des lieux d’administration du vaccin, 4 axes stratégiques de communication sont en cours de mise en œuvre pour inverser la tendance. Il s’agit du plaidoyer à l’endroit des plus autorités politico administratives ; de la communication sur les médias de masse et la gestion des rumeurs ; le renforcement de l’engagement communautaire et de la recevabilité en faveur de la vaccination Covid-19 à tous les niveaux et, enfin, la coordination et le suivi-évaluation des activités de communication.
« Ce reportage est publié avec le soutien de JDH – Journalistes pour les Droits Humains et Affaires Mondiales Canada »
© 2021 benbere.org

2. Covid-19 au Mali : état des lieux par l’Académie des sciences
Benbere – 10 novembre 2021
Par Rokia DOUMBIA
L’Académie des sciences du Mali (ASM) a dressé l’état des lieux de la situation de la pandémie de Covid-19 dans le pays, au cours d’une conférence de presse tenue le 30 octobre dernier, à la Faculté des sciences économiques et de gestion de Bamako (FSEG).
Seulement 1,3% de la population malienne est complètement vaccinée contre le coronavirus, soit 265.740 vaccinations complètes sur un total de plus 585 000 doses administrées. La réticence à la vaccination est renforcée par les rumeurs sur la maladie, estime Mahamadou Théra, enseignant de parasitologie mycologie à la Faculté de médecine et d’odonto-stomatologie (FMOS).
« S’il y a un moyen plus efficace contre les infections, c’est bien la vaccination. C’est grâce à la vaccination que l’on peut éliminer les maladies infectieuses », explique Boureima Kouriba, maître de conférences, agrégé d’immunologie à la Faculté de pharmacie qui rappelle que la vaccination a joué un rôle important dans l’éradication de la variole et la poliomyélite, en voie de disparition. « Plus il y a des personnes vaccinées, moins il y aura d’infections », précise l’enseignant-chercheur.
Grande contamination
Au cours de cette conférence de presse, à laquelle ont assisté les ministres de la Santé et du Développement social, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, les chercheurs se sont également penchés sur les rumeurs qui font croire le virus serait sensible à la chaleur. Pour le professeur Kouriba, « c’est possible mais pas avéré ». Si tel est le cas, poursuit-il, les régions comme Tombouctou seraient totalement épargnées, alors que 50 cas y ont été enregistrés en un seul jour. Il se peut que ce soit notre environnement qui nous protège contre la grande contamination. Mais « aucune étude n’a déterminé pourquoi la pandémie n’est pas aussi ravageuse chez nous comme sur les autres continents », a-t-il indiqué.
L’efficacité du vaccin et le cas des femmes enceintes sont aussi des points qui ont été évoqués. Selon le professeur Kouriba, l’efficacité contre l’infection est relative. Toutefois, il faut retenir que « les vaccins sont efficaces par variant. Tous les vaccins ne sont pas efficaces pour tous les variants ».
Investir dans la recherche
Quant aux femmes enceintes, « tous les experts sont d’accord qu’il faut vacciner les femmes enceintes quel que soit le niveau de la grossesse », précise l’un des académiciens, le professeur Hamar Alhassane Traoré. Aussi, faut-il le préciser, le gouvernement du Mali n’a pas encore permis la vaccination des femmes enceintes à cause de toutes les rumeurs qui circulent.
Selon le professeur Thera, la pandémie peut être une opportunité pour les États africains. Une opportunité de montrer que l’Afrique a la possibilité de fabriquer son propre vaccin. « S’il y a la volonté politique, l’Afrique peut produire des vaccins contre la Covid-19 », affirme-t-il. Dans la même logique, Pr Rokia Sanogo, membre de l’ASM, a invité le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique à investir dans la recherche pour pouvoir aider les chercheurs à approfondir les recherches afin de trouver réponses à certaines questions.
© 2021 benbere.org

Foto (c) MSDS: Tagesaktueller Bericht des Gesundheitsministeriums vom 17.11. – 42 neue Fälle – 285 114 vollständig geimpfte Personen, das sind etwa 1,4 %.

1. Impfung gegen Covid-19: Jetzt kann man sich an weitaus mehr Stellen impfen lassen.
Benbere – 02.11.2021
Von Aminata Agaly YATTARA
Um möglichst viele Menschen zu erreichen, hat der Staat Mali beschlossen, die Impfung in Cscoms (kommunitären..), Csrefs (Referenzgesundheitszentren) und Privatkliniken zu öffnen. Eine Möglichkeit, die Orte der Verabreichung zu erweitern..
Am 9. Oktober 2021 wiesen die vorläufigen Ergebnisse 250 004 vollständig geimpfte Personen gegenüber 72 309 unvollständig geimpften Personen bei 529 150 erhaltenen Impfstoffdosen (Astrazeneca und Johnson & Johnson) aus. „Die Impfung gegen Covid-19 wird nun in allen öffentlichen Gesundheitseinrichtungen fortgesetzt. Außerdem haben wir am 4. Oktober 2021 835 200 Dosen des Sinovac-Impfstoffs erhalten und bereiten uns auf den Start der Impfkampagne in den nächsten Tagen vor“, sagte Dr. Cheick Amadou Tidiane Traoré, der leitende Direktor für Gesundheit und öffentliche Hygiene, in einem Interview.
Er fügte hinzu, dass derzeit Vorkehrungen getroffen werden, um die Impfstellen auf einige Apotheken auszuweiten, zusätzlich zu den kommunitären und den Referenzgesundheitszentren.
Botschafterin Linda Thomas-Greenfield, Vertreterin der Vereinigten Staaten bei den Vereinten Nationen, kündigte eine zweite Spende des Johnson & Johnson-Impfstoffs für Mali an, „als Teil der Bemühungen der US-Regierung, die Pandemie in Mali und weltweit zu bekämpfen“. Die Lieferung von 168.000 Impfstoffdosen kam am 23. Oktober 2021 in Bamako an und wurde an das Ministerium für Gesundheit und soziale Entwicklung in Mali geliefert.
Die am stärksten gefährdeten Menschen in Mali
Die Agentur der Vereinigten Staaten für internationale Entwicklung (USAID) arbeitete eng mit dem malischen Gesundheitsministerium, Unicef, der WHO und der Gavi Alliance bei der Verteilung und Verwendung der ersten Lieferung von 151.200 Johnson & Johnson-Impfstoffen, die von den USA an Mali gespendet wurden, zusammen. Alle Dosen dieser ersten Impfstofflieferung wurden im September aufgebraucht, mit einer geringen Verlustrate von nur 4%. „Wir sind überzeugt, dass diese zweite Impfstofflieferung den Maliern mit dem höchsten Risiko und denjenigen, die in schwer zugänglichen Gebieten leben, zugutekommen wird„, sagte Linda Thomas-Greenfield.
Seit ihrer Wiederaufnahme ist die Impfkampagne gegen Covid-19 in vollem Gange. Um möglichst viele Menschen zu erreichen, hat der Staat Mali beschlossen, die Impfung auch in Cscoms, Csrefs und Privatkliniken zuzulassen.
Diese Strukturen werden geschult, erhalten Dosen und die Menschen können sich quasi direkt vor ihrer Haustür impfen lassen„, sagt ein Mitglied des wissenschaftlichen Komitees. Seiner Meinung nach werden die gleichen strengen Regeln eingehalten wie derzeit.
Eine öffentliche Dienstleistung, die erbracht werden muss
Für uns wäre das eine öffentliche Dienstleistung, die wir erbringen müssten, was zu unseren Aufgaben gehört „, erklärt Adama Bagayoko von der Apotheke Carrefour Lafia.
(…)
“ Diese Reportage wird mit der Unterstützung von JDH – Journalisten für Menschenrechte und Globale Angelegenheiten Kanada veröffentlicht.“.
2021 benbere.org

1a. CsCom Koko II in Kati in Bildern
Auf dieses CsCom, das zum sanitären Distrikt Kati gehört, wurden 50 Dosen Sinovac verteilt. Man konnte sich dort ohne Termin ab Montag, dem 15. November impfen lassen.






2. Covid-19 in Mali: Bestandsaufnahme durch die Akademie der Wissenschaften
Benbere – 10. November 2021
Von Rokia DOUMBIA
Die Akademie der Wissenschaften Malis (ASM) hat im Rahmen einer Pressekonferenz am 30. Oktober in der Fakultät für Wirtschafts- und Verwaltungswissenschaften in Bamako (FSEG) eine Bestandsaufnahme der Situation der Covid-19-Pandemie im Land vorgenommen.
Nur 1,3% der malischen Bevölkerung sind vollständig gegen das Coronavirus geimpft, was 265.740 vollständigen Impfungen bei insgesamt über 585.000 verabreichten Dosen entspricht. Die Zurückhaltung bei der Impfung wird durch Gerüchte über die Krankheit verstärkt, meint Mahamadou Théra, Dozent für Parasitologie-Mykologie an der Fakultät für Medizin und Zahnheilkunde (FMOS).

Wenn es ein effizientes Mittel gegen diese Infektionen gibt, dann ist es die Impfung. Es ist der Impfung zu verdanken, dass Infektionskrankheiten eliminiert werden können„, erklärt Boureima Kouriba, Dozent und Lehrbeauftragter für Immunologie an der Pharmaziefakultät, der daran erinnert, dass die Impfung eine wichtige Rolle bei der Ausrottung der Pocken und der fast verschwundenen Poliomyelitis gespielt hat. „Je mehr Menschen geimpft sind, desto weniger Infektionen gibt es „, erklärt der Dozent und Forscher.
Hohe Ansteckungsrate.
Auf der Pressekonferenz, an der auch die Minister für Gesundheit und soziale Entwicklung sowie für Hochschulbildung und wissenschaftliche Forschung teilnahmen, gingen die Forscher auch auf die Gerüchte ein, dass das Virus hitzeempfindlich sei. Für Professor Kouriba ist dies „möglich, aber nicht bewiesen„. Wenn dies der Fall wäre, so fährt er fort, würden Regionen wie Timbuktu völlig verschont bleiben, während dort an einem einzigen Tag 50 Fälle registriert wurden. Es könnte sein, dass es unsere Umwelt ist, die uns vor der hohen Ansteckungsrate schützt. Aber „keine Studie hat festgestellt, warum die Pandemie bei uns nicht so verheerend ist wie auf den anderen Kontinenten„, sagte er.
Die Wirksamkeit des Impfstoffs und der Fall schwangerer Frauen waren ebenfalls Punkte, die angesprochen wurden. Laut Professor Kouriba ist die Wirksamkeit gegen die Infektion relativ. Es ist jedoch festzuhalten, dass „…nicht alle Impfstoffe gegen alle Varianten wirksam sind„.
Investitionen in die Forschung .
Was schwangere Frauen betrifft, „sind sich alle Experten einig, dass schwangere Frauen unabhängig vom Grad der Schwangerschaft geimpft werden sollten„, stellt einer der Akademiker, Professor Hamar Alhassane Traoré, klar. Die Regierung von Mali hat die Impfung schwangerer Frauen aufgrund der vielen Gerüchte noch nicht zugelassen.
Laut Professor Thera kann die Pandemie eine Chance für die afrikanischen Staaten sein. Eine Gelegenheit, um zu zeigen, dass Afrika die Möglichkeit hat, seinen eigenen Impfstoff herzustellen. „Wenn der politische Wille vorhanden ist, kann Afrika Impfstoffe gegen Covid-19 selbst herstellen“, bekräftigt er. Im gleichen Sinne forderte Prof. Rokia Sanogo, Mitglied der ASM, den Minister für Hochschulbildung und wissenschaftliche Forschung auf, in die Forschung zu investieren, damit die Forscher ihre Forschungen vertiefen können, um Antworten auf bestimmte Fragen zu finden.
© 2021 benbere.org

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